Il y a quelques semaines, ma machine (Processeur Intel E Quelque chose, pas de virtualisation assistée, pas de 64Bits) hébergeant mes sites, le serveur Mail, DNS etc. a rendu l’âme.
J‘en ai profité pour upgrader l’hardware: j’ai donc remplacé la carte mère par une MSI et le processeur (Intel) par AMD 64 X2, qui propose à un prix dérisoire la fonctionnalité SVM (support de la virtualisation en hardware).

Après le changement des pièces, la machine boote correctment, puis GRUB propose son menu et commencer à charger l’OS. Au bout de quelques secondes, écran noir, puis peu de temps après, je me trouve devant le prompt busybox m’indiquant que la partition correspondant à l’UUID dont je n’ai pas retenu la chaîne n’a pas été trouvé…

Là commence un petit moment de panique: je commence à me dire “Hé merde, il va falloir réinstaller lOS (dont l’installation date d’époque de Dibian Potato/Sarge) et j’ai bien fait de graver le CD Net Install“. Mais comme tout utilisateur de Debian et informaticien, par conséquent partisan du moindre effort, je commence regarder de près ce qui pose problème: ce qui me saute au yeux dés les premières secondes, c’est que disk n’est pas reconnu. Nn lsmod me permet de remarquer que dans la liste des modules chargés, il manque le module sata correspodant au nouveau chipset(VIA pour la nouvelle carte mère, alors que sur l’ancienne le chipset devait être INTEL).

Et là, je commence à dire Et si c’était ça le problème? S’il suffissait de recréer uniquement l’initrd avec les bon modules…

Un arrêt éléctrique de la machine et connexion d’un lecteur CD, un tour dans le bios pour indiquer que la machine doit booter sur CD, j’insère le CD Netboot de Lenny pour AMD64.

La machine(pour la petite histoire elle s’appelle Nemesis) boote sur le CD et m’affiche les choix possibles. Je sélectionne Rescue et après quelques questions (langue de l’interface, type de clavier), l’assisstant m’affiche la liste de partitions et demande d’indiquer la partition root. Là, je commence me dire que j’aurais peut-être pas besoin réinstaller la machine et indique /dev/sda5 (dans mon cas la réponse était simple: toutes machines que j’installe suivent la même norme:



  • Première partition est dédiée au /boot
  • La deuxième est dédiée au swap
  • La première partition étendue (Xd5) contient toujours le /
  • L‘installeur monte la partition, puis lance un shell chrooté. Après quelques ls et des pwd, mount -a effectue le montage de toutes les partitions.
    Le fichier de configuration de initramfs (/etc/initramfs-tools/initramfs.conf) indique que update-initramfs n’inclus que les modules nécéssaires (MODULES=dep) lors de la génération du initrd. Le coeur palpitant, je le modifie en most, relance la génération des initrds par update-initramsfs -u -k all, reboote la machine et éjecte le CD de boot afin de laisser la machine booter sur le disk.

    Après quelques secondes d’angoisse, GRUB charge, et dans les lignes qui défilent, je remarque que le disk est bien reconnu et / est monté sans erreur, et au bout de quelques secondes, je me trouve devant le prompt

    Cette migration inattendue et réussie, à partir d’une carte mère avec un chipset pour processeur Intel X86 vers un chipset avec un processeur AMD64, souligne encore une fois la flexibilité de Linux et la facilité de maintenance d’une Debian.

    En postant cette histoire, je suis entrain de me dire que il faut quand même que je migre Nemesis vers AMD64 au lieu de la laisser sous X86, mais ce sera pour quand j’aurais un peu plus temps….


    Ce matin en arrivant au boulot, j’ai trouvé une de nos veilles machines, qui servait de serveur DNS et MX pour nos domaines, plantées. Les erreurs affichées sur la console semblaient être liées au disk. Ne pouvant plus se logguer, je la reboote brutalement. Elle redémarre sans problème, mais affiche des messages d’erreurs sur la console (ide: failed opcode was: unknown, end_request: I/O error, dev hda, sector 36684151, Buffer I/O error on device hda12, logical block 691607, hda: dma_intr: status=0×51 { DriveReady SeekComplete Error }, hda: dma_intr: error=0×40 { UncorrectableError }, LBAsect=36684154, sector=36684151) puis commence à ramer. Du coup, arrêt des services(postfix, amavis), démontage du file system et vérification par reiserfsck. Aucune erreur est trouvée. Je remonte le file system et relance les services.

    Rebolotte. Les mêmes messages commencent à défilier. Je me décide, donc, à prendre les choses sérieusement: je lance une sauvegarde du file system par tar, après avoir arrêté postfix. Le tar dure plus de 2 heures pour une sauvegarde d’environ 1.5Go de données.

    Une fois la sauvegarde terminée, je démonte le file system et le reformate en ext3 (je commence à croire que dans certaines conditions, la version 3 reiserfs par dans les choux, mais je n’arrive pas à déterminer précisément ces conditions) avec les options ‘-c -c‘, qui permettent tester le file system crée avec écriture puis une lecture, les blocs illisibles n’étant plus utilisés. Après cette opération, dont je ne sais plus la durée (de tête, environ 2 heures), un coup de tunefs pour définir les options de montages par défaut (errors=remount-ro et data=journal) et modification de /etc/fstab, le file system en question est remounté. La sauvegarde est restaurée et les services sont relancés.

    Après plus d’une heure de fonctionnement, toujours aucun message d’erreur.

    Cette expérience montre comment avec quelques outils de base (tunefs, mkfs.ext3, tar) utilisés correctement sur un OS stable (GNU/Linux Debian), on peut continuer à tirer parti d’un matériel éventulement défectueux.



    Les Français avaient rejeté le traité de constitution européenne. Une fois élue, notre cher président Sarkozy, avec son immense respect pour la démocratie, avait fait passer ce traité devant le parlement qui, en piétinant la volonté du peuple, avait validé ce traité.

    Cette manière de faire, quelque soit l’opinion qu’on avait de ce traité, était clairement anti-démoratique.. Aujourd’hui, le peuple Irlandais vient de rejeter la constitution.

    Bien que je ne connaisse pas clairement les raisons de ce rejet, je ne peux que remercier le peuple Irlandais pour ce rejet, qui par cette action vient de laver l’affront de notre cher président et de nos chers députés (y compris les députés socialistes) envers le Peuple.

    Spéculons un peu maintenant : quelle va être la réaction de notre cher président? Faire pression sur le gouvernement Irlandais pour qu’elle accepte le traité? Isoler l’Ireland ou l’exclure de la communauté européenne afin de applique le mini traité sans le peuple Irlandais ou une prise de compte de la volonté de peuple par la mise en place de la rédaction d’une nouvelle constitution par une assemblé constituante élue à la proportionelle dans l’ensemble des états membres?. Oui, je sais, je suis d’un nature optimiste qui crois nos élus sont capables d’écouter la voix du peuple….


    Hier, tant bien que mal, j’ai fini par migrer mon site qui tourne sous moinmoin vers la dernière version. La procédure de migration est pourtant simple, à condition de suivre les étapes préconisées. De plus, dans la package distribué par Debian, il manque un fichier et cela n’est indiqué nulle part. Voici, donc, les étapes à suivre :



    • Faire une sauvegarde des répertoires data, underlay et /etc/moin.
    • Installer les nouveaux packages.
    • Modifier la configuration en éditant les fichiers sous /etc/moin.
      • Remplacer la ligne ‘from MoinMoin.multiconfig import DefaultConfig’ par ‘from MoinMoin.config.multiconfig import DefaultConfig’
      • Remplacer la ligne ‘from MoinMoin.util.antispam import SecurityPolicy’ par ‘from MoinMoin.security.antispam import SecurityPolicy’
    • En cas d’utilisation des répertoires data et underlay déportés, vérifier les droits sur ces répertoires. Ils doivent être accessible en écriture à l’id utilisateur sous lequel tourne le serveur Web.
    • Sous ID d’utilisateur sous lequel tourne le serveur WEB par su
    • Créer dans répertoire data un fichier nommé meta. Ce fichier doit contenir une ligne data_format_revision: VERSION. VERSION est de la forme ‘XYZ’ (par exemple, lors d’une migration de la version 1.5.3, elle doit être ‘1050300′.
    • Lancer la procédure de migration par /usr/share/python-support/python-moinmoin/MoinMoin/script/moin.py –config-dir=/etc/moin –wiki-url=URL_DU_WIKI migration data
    • Suivre les instructions données par le script de migration.
    Enfin de compte, la procédure est simple. Mais, il manquait l’indication concernant le fichier meta, contenant la version du metadata en place, à placer dans le répertoire data…



    Je ne sais pas si je suis le seul à eu ce problème, dans le cas contraire, il faut faire un bug report sur le package de Debian.

    EDIT 22/04/2008: C’est indiqué dans le fichier README.migration.gz, c’est moi qui n’avais pas pris le temps lire correctement les instructions de migration. Debian, c’est bien fait quand même!


    Outre le fait d’offrir des roses pour faire plaisir, un bouquet de roses permet, également, d’exprimer des sentiments que l’on n’ose pas avouer par peur ou par timidité.



    Selon la couleur des roses offertes, le geste peut signifier :



    • Jaune : symbolise l’amitié. On les offre aussi pour se faire pardonner d’une infidélité.
    • Orange : symbolise l’amour secret.
    • Rose : symbolise l’amour.
    • Rouge : le rouge est la couleur de la passion amoureuse et du désir. Les rouges symbolisent, donc, la passion amoureuse. Et, pour la petite histoire, la rose rouge est une rose blanche sur laquelle Cupidon aurait renversé son verre de vin de rouge.
    • Blanche : symbolise la pureté, l’innocence ou un amour secret.
    • Blanche et une rouge : sympathie.
    • Lavande : coup de foudre.




    Il n’y a pas que la couleur. En fonction de l’aspect, les bouquets de roses peuvent symboliser :



    • L’enfance innocente : boutons de rose
    • beauté passagère. : rose épanouie
    • Confiance ou facilité : rose sans épine
    • Gentillesse: rose pompon.
    • Amour : Rose mousseuse.




    La prochaine fois que vous offrez des roses pensez à la symbolique et indiquez l’heureuse élue l’url de ce blog pour qu’elle comprenne le sens caché de votre geste ;-)



    Aujourd’hui, c’est la journée mondiale du refus de la misère. Il existe plusieurs façon de lutter contre la pauvreté : attendre que notre président omniprésent décide de faire quelque chose (enfin, il s’est engagée à réduire la misère d’un tiers d’ici 5 ans alors que les 15 milliards de cadeaux fiscaux sont déjà en place!) ou, individuellement, dans la mesure des ses moyens, soutenir financièrement des associations. Voici une petite liste :

    • Unicef”:http://www.unicef.org : {fr:unicef|unicef} est engagé, entre autres, dans la protection de l’enfance, santé, l’alimentation et l’éducation.




    • Les amis de l’orphelinat de Pattaya”:http://www.orphelinatpattaya.org/ : cette association a pour mission de venir en aide aux enfants orphelins, handicapés et déshérités de l’Orphelinat de Pattaya




    • Action contre la faim”:http://www.actioncontrelafaim.org/ : {fr:action_contre_la_faim| Action contre la faim} prévient et traite la malnutrition aiguë. chez les populations les plus vulnérables




    • Handicap International”:http://www.handicap-international.fr/index.html : engagé auprès des handicapés du monde entier, cette {fr:Handicap_International|association} leur apporte une aide sur 4 niveaux : déminage, prévention, réadaptation et réinsertion.




    • Aide et Action”:http://www.aide-et-action.org/ : {fr:Aide_et_Action|Aide et Action} finance des projets éducatifs dans 19 pays.




    • Comité catholique contre la faim et pour le développement”:http://www.ccfd.asso.fr/ : {fr:CCFD|CCFD} soutient des projets de {fr:Développement_humain|développement humain} dans les pays en développement du Sud et de l’Est en partenariat avec des associations locales.




    • Médecins du monde”:http://www.medecinsdumonde.org/ :  {fr:Médecins_du_monde|Médecins du monde} apporte une aide humanitaire aux populations vulnérables en France et dans le monde.




    • Médecins sans frontières”:http://www.msf.fr : {fr:MSF|MSF} apporte une aide à ceux dont la survie est menacée par des crises dues à la violence ou à la négligence cynique d’autres hommes.




    • Association française pour l’enfance abandonnée”:http://http://perso.orange.fr/afea.snehasadan/ : AFEA soutient financièrement Snehasadan, un orphelinat situé en Inde




    • Kiva”:http://www.kiva.org : {fr:kiva|kiva} est un site web permettant de faire des {fr:microcrédit|microcrédits}.



    Un petit mot pour signaler que KDE 3.5.8 est sortie. La sortie n’est pas encore indiquée sur le site du projet, mais pour les gens qui utilisent Debian SID, un “apt-get update; apt-get distt-upgrade” mettra à jour le système.



    Un gros merci à l’équipe KDE et l’équipe pkg-kde-debian pour ce nouveau release !

    Edit (16/10/2007 à 22h11)
    Le change log est disponible sur le site de KDE








    Aujourd’hui, c’est the blog action day. L’objectif du jour consiste à faire un post sur l’environnement…



    • J‘ai commencé à utiliser des ampoules à basse tension parce qu’elles consommaient moins d’électricité, étaient, donc, économique et écologique. Je viens d’apprendre que, contrairement aux ampoules à filament, elles se recyclent. En effet, depuis Novembre 2006, 30 centimes du prix de vente de chaque ampoule à basse tension est utilisée pour le recyclage. Donc, pensez à ramenez vos ampoules pour qu’elles soient recyclées et si vous en utilisez pas, changez vos ampoules à filament contre les ampoules à économie d’énergie1.
    • Voiture {fr:open_source|open source} : après les {fr:Logiciel_libre|logiciels libres}, des {fr:Materiel_informatique_libre|composants informatiques} et la {fr:Free_Beer|bière} en open source, une voiture écologique en open source est en préparation1. Un premier modèle de cette voiture entièrement en plastique recyclé et alimentée par une pile à combustion en hydrogène a été présentée au salon AutoRAI d’Amsterdam en Avril 2007. Appelée C,MM,N, cette voiture, dont les plans seront disponibles sur le site du projet, devrait intégrer des outils de partage d’information en temps réel sur le trafic ou la disponibilité des places de parkings et devrait sortir en 2020. Ça me laisse le temps de me motiver pour passer mon permis et j’espère que ce n’est pas un {fr:vaproware} de plus.
    Notes:
    1. source: Libération du 13/10/2007 [#^#] [#^#]


    La sauvegarde d’un système d’informations est toujours importante. On l’apprend toujours à ses dépends.

    Je devais intervenir sur une dedibox pour mettre en place un groupware (eGroupware) afin de lui permettre de proposer à ces étudiants une plate-forme d’échange. Rien de compliqué à cela car la machine était déjà en place (sous Ubuntu, j’aurais préféré un Debian, mais bon…) avec une installation eGroupware qui était presque fonctionnelle. Afin, de ne pas casser l’existant, j’ai décidé de faire une nouvelle installation d’eGroupware en nommant cette nouvelle instance egroupwarenew. L’installation s’est déroulée sans problème. Arrive le moment fatidique de la configuration : la connexion vers la base de données (mySQL) ne se fait pas. Je décide, donc, de dropper la base egroupwarenew que j’avais créée à la main et laisser l’installeur effectuer cette opération. Je me connecte, donc, sur le serveur mysql, je tape “drop database egroupware;” et valide la commande joyeusement en tapant sur la touche “entrée”.
    Et là, c’est le drame. L’instance d’eGroupware qui était en place utilisait une base nommée egroupware ; la base que je devais dropper était egroupwarenew. J’ai été incapable de trouver une sauvegarde de la base droppée sur la machine. Pourtant, egroupware propose, en option, une méthode pour effectuer une sauvegarde tous les jours. Malheureusement, cette option ne semblait pas avoir été activé. Après avoir déprimé pendant une demi-heure, j’ai terminé l’installation. Tout semble fonctionner…

    Comme je le disais au début de mon poste, les sauvegardes sont importantes qu’on soit un particulier ou professionnel. Dans ma courte vie d’informaticien, j’ai dû faire 3 ou 4 grosses conneries et toutes étaient liées à des suppressions malencontreuse de fichiers.

    • La première était une suppression de /etc : un malheureux “rm -rf *” en étant au mauvais endroit. Sur ce coup, j’ai eu de la chance. C’était sur une machine de prod au boulot et on avait une sauvegarde. Le truc à ne pas faire dans le cas de la suppression de /etc/, c’est surtout ne pas se déconnecter et ne pas paniquer (là ce n’est pas dur, je savais que j’avais un backup à jour). Donc, restauration du contenu sur une autre machine (car une fois que /etc n’existe, plus, il n’est plus possible de se connecter, hein) et transférer les données. D’ailleurs, quand il y a un truc marrant avec SSH lorsque le /etc/passwd n’existe plus et qu’on est encore connecté, il passe son temps envoyer des messages du genre “I don’t know you. Go away!“.




    • La deuxième série de suppression était moins grave dans la mesure où c’était sur mes machines perso. Un script m’a viré tout mon home directory et un malheureux “rm -rf *” qui entraîné la suppression de la configuration de mon serveur Apache. J’ai pu récupéré mon “home” à partir d’une vieille sauvegarde car jusqu’à ce jour, je m’étais dit que cela n’arrive qu’aux autres. Concernant la config du serveur Apache, ce fût un peu plus compliqué. La configuration de base était simple à récupérer, il suffit de réinstaller les packages (merci Debian). Quant à la récupération des mes virtuelhosts et la configuration spécifique, j’ai eu de la chance, car j’avais activé le handler “server-info” qui liste la configuration du serveur. Ce n’est pas simple de récupérer la config. d’un serveur en partant d’une page html qui regroupe trop d’informations mais c’est quand même plus facile qu’à partir de rien.




    • Les 2 autres fois, c’était vraiment débile. Je fais toujours des copies de sauvegarde en utilisant un schéma de nom un peu nul : par exemple, je fais une copie de fichier “index.php” en “index.php-ORI” ou appeler une base “egroupwarenew” alors qu’il existe déjà une base egroupware. Et, à chaque fois, la fatigue aidant, je n’allais pas jusqu’au bout du mot et finis par supprimer le mauvais fichier ou la mauvaise base (comme egroupware ou index.php).




    En presque 10 ans, je n’ai pas encore perdu mes données suite à problème matériel. Chaque fois que j’ai perdu des données c’était suite à une suppression involontaire.







    Donc,



    • Il faut toujours réfléchir à 2 fois avant de faire des “rm -rf *“.
    • Faire une sauvegarde régulièrement. Il existe pleins d’outils pour ça. J’utilise backupninja. Une page wiki du projet Debian en cite d’autres.
    • Faire attention de la façon dont on nomme les copies de fichier de sauvegardes. Il vaut mieux faire une copie de fichier “index.php” en “ORI-index.php” plutôt que “index.php-ORI














    EDIT 14/10/2007 à 09h30



    • Lorsqu’on accède à une machine pour la première fois, s’assurer qu’elle est bien sauvegardée.




    Je viens de tomber sur un post qui parle aussi de l’importance des sauvegardes. C’est étrange de constater que d’autres font face aux mêmes soucis au même moment…



    J‘ai complétement oublié de parler de la première édition de la République des Blogs de Lyon. Co-organisé par Romain Blachier, cette première édition aura lieu le 23 Octobre à partir de 20 heures au Jonkafe (21, rue Pasteur dans le 7e arrondissement). Que vous soyez un bloguer fou ou simple lecteur, vous êtes invités à venir discuter avec les blogeurs Lyonnais en vous inscrivant sur le Wiki.


















    Qui ne s’est jamais demandé à quoi ressemblerait un monde dirigé par des BOFH? La réponse est donnée par une nouvelle



    d’anticipation publiée par Cory Doctorow sous la licence CC et traduite par Zen le Renard. C’est drôle à lire, enfin, quand on comprend de quoi ça parle. Sinon, un petit lexique est aussi disponible.




    Hier c’était un repas entre amis. Au menu, il y avait des chesse nans, des samosas, porc au curry préparé avec amour par l’Empire surgelé de chine(?), du riz, gâteau au chocolat et une tarte.
    Les sujets de discussions étaient variés mais n’étaient jamais éloignés de la politique. J’ai essayé de comprendre la façon que ma petite soeur a à idéaliser un pays qu’elle n’a pas connu, qu’est ce qu’être centriste (ou plutôt MoDEM) et expliquer ma façon Manichéenne de voir le monde.



    Bien que dépassé dans notre monde complexe, ce paradigme permet à mes 2 neurones de classer de façon simple mes actes et ceux des autres en 2 catégories (au sens Morale Universelle et non religieuse du terme).



    De plus, cette soirée n’a fait que renforcer ma conviction sur la façon de voir ma vie qui consiste ne pas vouloir la considérer comme une moyenne de toutes mes choix/actions/actes car cela reviendrait à la lisser en justifiant mes mauvaises actions par d’autres bonnes!


    J‘ai enfin pris le temps d’aller voir le mariage de Tuya. Le film raconte l’histoire Tuya qui subvient, seule, aux besoins de sa famille. Son mari, handicapé par accident et ne pouvant de plus l’aider lui propose de divorcer et de se remarier. Tuya accepte de divorcer et de se remarier à condition que son futur mari accepte garder son ex-mari avec eux.
    J‘ai bien aimé ce film qui décrit, donc, la vie d’une famille bergère vivant dans la Mongolie profonde. Il aborde également la difficulté à vivre sans eau courante (Tuya doit faire 15KM pour aller chercher de l’eau ; son mari est devenu handicapé lorsqu’il essayait de creuser un puits), l’accès aux soins par les familles paysannes etc.



    Cependant, le film m’a peu laissé sur ma faim : il n’a pas abordé ce que pouvaient ressentir l’ex- et nouveau mari l’un envers l’autre!


    Tout à l’heure, j’écoutais France Inter. C’était l’heure des p’tits bateaux. La première question de l’émission était “Pourquoi doit-on payer des impôts ? Et que fait l’État avec notre argent“. L’intervenant a fait une réponse très pédagogue qui aurait permis même à un libéral de comprendre pourquoi il fallait payer des impôts (les impôts ne sont pas destinés uniquement au maintient des services régaliens).
    Il a terminé son intervention par cette phrase : “dans le monde 500 personnes les mieux payées gagnent autant que les 500 millions les plus payées.” J’ai été bouleversé par cette donnée. La mondialisation n’est pas seulement une libre concurrence et des produits de moins en moins cher au détriment des travailleurs et de l’environnement. Il est temps de mettre en place un impôt mondiale pour lutter contre la pauvreté!


      Qui pensait que moi, avec mes 3 neurones (sachez que le 3ème est mourant) étais assez intelligent pour violer des brevets? Pas moi, en tout cas, ni les gens qui me connaissent… Et pourtant, c’est vrai, j’ai écrit des programmes qui sont en flagrant délit de violation de brevets.

      En effet, d’après UPSTO (US Patent & Trademark Office), le fait de “recevoir un e-mail, l’interpréter et entreprendre une action en fonction de règles définies” de façon automatique est protégé par une demande brevet depuis, 1998. D’ailleurs, Polaris IP a entamé un procès contre les entreprise violant ce brevet.

      Ce qui est sûr dans cette histoire, c’est que je ne suis pas intelligent, mais que UPSTO fait n’importe quoi. Des boîtes déposent des demandes brevets débiles et cet organisme sensé protéger l’innovation valide leurs demandes sans rien comprendre aux contenus des demandes.



      Tiens, pendant que je pense, pourquoi quelqu’un ne dépose-t-il pas un brevet sur le “fait de protéger les innovations par UPSTO“.?










    Une dépêche publiée dans Libération de Lundi 27/08/2007 nous apprend que Mère Teresa, qui est sur le point d’être canonisée doutait de l’existence de Dieu. En effet, dans une quarantaines de lettres qui ont été rendues publique et qui vont être publiée dans un livre(Mother Teresa: Come, be my light), elle dit se douter de sa foi. Et si elle avait raison et que Dieu n’existait pas?

    Update: Un article a été publié sur Rue89.



    Pour ceux qui ne le savent pas, le fils de l’épicier est un petit film sans prétention qui parle de la désertification des villages, de la difficulté à exprimer les sentiments, à communiquer avec sa famille et de la solitude. Un film à ne pas rater


    Le vandalisme est le talon d’achille du projet Wikipedia. Le NPOV n’est possible que si le projet est ouvert à tous et offrant à chacun la possibilité de modification (et ce tout en étant anonyme. Sinon, je ne parierai sur l’espérance de vie des wikipédiens chinois entre autres!).

    Le Wikiscanner n’est pas une révolution: l’information existait déjà dans l’historique de modification de chaque article. Avant Wikiscanner, il fallait noter l’ ip de l’utilisateur ayant modifié l’article, puis faire une recherche manuelle. La base de données de Wikicanner simplifie grandement cette recherche.

    Comme tous les médias, il faut utiliser son esprit critique et recouper l’information surtout lorsque le sujet est sensible. La nature même de Wikipédia facilite cette vérification: il suffit vérifier l’historique des modifications.

    Je trouve, donc que l’article publié dans le monde est un peu (volontairement?) partisane et n’est qu’un copier/coller de l’article de Wired. L’auteur aurait pu faire l’effort d’indiquer que:



    • L’historique des modifications étaient disponibles!
    • Les articles vandalisés ont été corrigés très rapidement (certains quelques minutes après).

    Enfin, le projet Wikipédia n’est pas parfait et qu’il existe des critiques:



    Il faut, donc, arrêter le FUD sur Wikipédia parce qu’il appartient à chacun d’améliorer cet outil formidable!